Chaque année, Noël est une pièce de théâtre en trois actes dans la plupart des foyers.

1 - Activation maximale
L'organisation, les préparatifs, les dépenses, la déco, les invitations : on s'active pour mettre un max d’étoiles dans les yeux des enfants et profiter d’un état de douce euphorie (comme si la violence et l'hypocrisie du monde et de certaines familles n’existaient plus).

2 - On gloutonne !
Les repas pantagruéliques des 24 et 25 décembre (et parfois du 26 !) nous font ingurgiter autant de calories qu'on absorbe en une semaine en temps normal. Des mets luxueux se multiplient sur nos tables : on ne déguste pas, on gloutonne.

3 - Fin de la souffrance
Puis dans un énorme soupir du cœur (et des intestins !), c’est le clap de fin de souffrance, accompagné d’un "Ouf, j'suis bien content que ça se termine !" - "Rah la la, moi aussi" .
On se promet qu'on fera mieux l'année prochaine, promesse qui ne sera jamais tenue évidemment. En attendant c’est footing et soupe de légumes à l’honneur !